阿尔伯特-莱昂·勒巴克是一位法国雕塑家，出生于1853年11月18日，逝世于1939年。他的雕塑作品曾在1928年夏季奥林匹克运动会的雕塑比赛中展出。

Albert-Léon Lebarque was a French sculptor born on November 18, 1853 and died in 1939. His sculpture was presented during the sculpture event of the art competition at the 1928 Summer Olympics.

Albert-Léon Lebarque était un sculpteur français né le 18 novembre 1853 et décédé en 1939. Sa sculpture a été présentée lors de l'épreuve de sculpture du concours d'art des Jeux olympiques d'été de 1928.

Albert-Léon Lebarque

夏尼翁（Chaignon）是一位擅长描绘中世纪城市场景的画家，他可能是欧仁·维奥莱-勒-杜克（Eugène Viollet-le-Duc）的学生之一。他为陶艺家工作，在瓷器上作画。

Alphonse CHAIGNON is an artist born in 1828.

Peintre spécialisé dans la représentation de scènes urbaines médiévales, Chaignon est probablement un des élèves d’Eugène Viollet-le-Duc. Il travailla pour des céramistes, et peignit sur porcelaine.

Alphonse CHAIGNON

吉鲁（François-Simon-Alphonse Giroux）(1776-1848)

吉鲁（Giroux）曾接受过著名的雅克-路易-大卫（ Jacques-Louis Davidà）的绘画训练，但他放弃了这条道路，转而从事家具和艺术品贸易。他在巴黎开设的商店赫赫有名。吉鲁专门从事于手工艺品和高级细木器的制作。在他的指导下，其工坊为资产阶级和贵族们设计出了顶级的小型家具。年轻的查理十世和路易十八都特别喜欢他的作品。随后，从执政府时期至第二帝国末，吉鲁（Giroux）的生意转交给他的儿子们接手。

François-Simon-Alphonse Giroux (1776-1848)

Trained as a painter under the great Jacques-Louis David, Giroux abandoned this career path to venture into the business of furniture and art objects. His Parisian store gained great renown, specializing in the field of marquetry and cabinetmaking. Under his direction, his workshop designed high-end small furniture intended for the bourgeoisie and nobility. The young Charles X and Louis XVIII were particularly fond of his creations. The Giroux house's activity, taken over by his sons, extended from the Consulate to the end of the Second Empire.

Formé en tant que peintre auprès du grand Jacques-Louis David, Giroux remise cette orientation pour se lancer dans le commerce de meubles et d’objets d’art. Son magasin parisien acquiert une grande renommée. Giroux se spécialise dans le domaine de la tabletterie et de l'ébénisterie. Sous sa direction, son atelier conçoit du petit mobilier haut de gamme, destiné à la bourgeoisie et à la noblesse. Les jeunes Charles X et Louis XVIII apprécient tout particulièrement ses créations. L’activité de la maison Giroux, reprise par ses fils, s’étend du Consulat à la fin du Second Empire.

Alphonse Giroux

费尔南·泰斯马尔出生于1843年3月3日，在沙隆河畔沙恩度过了他的童年，与德国银行家威廉·泰斯马尔，母亲和兄弟姐妹一起生活，直到他九岁。由于一些逆境，家人不得不搬到穆尔豪斯，在那里费尔南开始了他的学业。他对化学充满了热情，有人建议他进入Heimalnn兄弟的工厂，在那里有一个特殊的工作室培养化学学徒。不幸的是，每年需要支付5000法郎，为期五年，费尔南被迫放弃了这个机会。他于14岁时进入Schwartz-Huguenin公司学徒，在那里学习工业设计师的职业，该公司是一家大型印花和家具装饰织物制造商。他在工厂的老师Ulrich Tournier是一位花卉画家，他让费尔南热情地解剖和绘制植物，并迫使他进行形态解剖和自然的精细复制。

1860年，在服务了四年后，身受工厂生活令人窒息的气氛的费尔南·泰斯马尔离开了穆尔豪斯，来到了巴黎，那时他17岁。他首先进入工业设计师的工作室，然后被Cambon接纳，成为一名装饰家，与他一起工作在公寓装饰上。他在1866年离开Cambon去Beauquier和Delforce绘制挂毯图案。在这些年里，他为拿破仑三世完成了一项特别的工作：为《凯撒传》绘制图案。然而，在1868年，他回到挂毯业，接受了Hyemeniz和Beaurepaire拥有的奥布森挂毯制造厂的主管职位，直到1870年。

在战争期间加入了第二工兵团后，泰斯马尔回到巴黎为Braquenié公司绘制挂毯图案。生活很艰苦，因为订单并不总是付款良好。当他在1872年加入艺术铸造商Barbedienne公司时，一定程度上出现了经济复苏，并最终找到了自己的职业方向——探索珐琅的研究。他负责提供采用隔栅珐琅技术制作的作品模型。这种技术对于19世纪的珐琅匠来说是新颖的，需要学习和完全重建的技能，并且存在许多不可预测性、不确定性和烧烤时的偶然性。

次年，他在1873年维也纳世界博览会上展出了一个巨大的盘子，上面绘有中国公鸡或金色孔雀，受到官方报告的好评。这个盘子还在Union Cen…[省略]展览会上展出过。

 was born on March 3, 1843 in Chalon-sur-Saône, where he grew up until the age of nine with his father, Wilhelm Thesmar, a German banker, his mother, and his brothers and sisters. Due to financial difficulties, the family had to move and settle in Mulhouse in 1852, where Fernand began his studies. Passionate about chemistry, he was advised to join the Heimalnn brothers' factory, well-known in Mulhouse for training chemistry students in a special workshop. Unfortunately, at a cost of 5,000 francs per year for five years, Thesmar was forced to give up. He then began an apprenticeship at the age of 14 at Schwartz-Huguenin, a large manufacturer of fabric prints and upholstery, to learn the profession of industrial designer. His master at the factory, Ulrich Tournier, a flower painter, made him dissect and draw the plant with enthusiasm, forcing him to analyze the anatomical forms and make meticulous copies of nature.

In 1860, after four years of service, Fernand Thesmar, suffering from the suffocating atmosphere of factory life, left Mulhouse and arrived in Paris at the age of 17. He first entered industrial design workshops for fabrics and then joined Cambon, a theater decorator, with whom he worked on the ornamentation of apartments. He left him around 1866 to draw tapestry cartoons at Beauquier and Delforce. During these years, he was commissioned to do exceptional work for Emperor Napoleon III: drawings to be used for the book The Life of Caesar. Nevertheless, in 1868, he returned to the tapestry industry by accepting the position of director at the Aubusson tapestry factory belonging to Hyemeniz and Beaurepaire, which he held until 1870.

est né le 3 mars 1843 à Chalon-sur-Saône où il grandit jusqu’à ses neuf ans auprès de son père d’origine allemande, Wilhem Thesmar, banquier, sa mère et ses frères et sœurs. A la suite de revers, la famille doit déménager et s’installer à Mulhouse en 1852, ville où Fernand commence ses études. Passionné de chimie, on lui conseille d’entrer à la manufacture de MM. Heimalnn frères, bien connue à Mulhouse où l’on formait dans un atelier spécial des élèves chimistes. Malheureusement à raison de 5 000 francs par an sur cinq, Thesmar se voit obligé de renoncer. Il entre alors en apprentissage à 14 ans dans la maison Schwartz-Huguenin, grande manufacture d’impressions sur étoffe et de tenture d’ameublement pour y apprendre la profession de dessinateur industriel. Son maître à la fabrique, Ulrich Tournier, peintre de fleurs le fait disséquer et dessiner la plante avec ardeur, l’obligeant à une analyse anatomique des formes et à une copie minutieuse de la nature.

En 1860, après quatre ans de service, Fernand Thesmar, souffrant de l’atmosphère étouffante de la vie de fabrique, quitte Mulhouse et arrive à Paris, il a 17 ans. Il entre d’abord dans les ateliers de dessin industriel pour étoffe puis se fait admettre chez Cambon, le décorateur de théâtre, avec qui il travaille à l’ornementation d’appartements. Il le quitte vers 1866 pour aller dessiner des cartons de tapisserie chez Beauquier et Delforce. Durant ces années un travail exceptionnel lui est commandé pour l’Empereur Napoléon III : des dessins à relever pour l’ouvrage de la 

. Néanmoins, en 1868, il retourne à l’industrie des tapis en acceptant le poste de directeur à la manufacture des tapisseries d’Aubusson appartenant à Hyemeniz et Beaurepaire qu’il occupera jusqu’en 1870.

André Fernand Thesmar

) is a French luxury brand and manufacturer of fine 

, France. The company owns two museums: the 

 was the majority shareholder of the company until 2005.

, which used the name for a luxury hotel called Baccarat Hotel New York, featuring the company's chandeliers, decorative pieces and glasses.

In 2018, Fortune Fountain Capital, a Beijing-based financial group, acquired an 88.8 per cent stake of the company from Starwood Capital Group and L Catterton. On 23 December 2020, four financing funds based in Hong Kong - Tor, Sammasan, Dolphin and Corbin - took control of the capital of Fortune Fountain Limited (FFL), the holding company that held 97% of the shares of Baccarat.

 est une entreprise verrière et manufacture de 

 de renommée mondiale, située dans la commune de 

, à la limite orientale du département de 

. Elle possède, à proximité de ses ateliers, un musée de la cristallerie très fréquenté en saison estivale.

Baccarat

Pillivuyt是一家有着200年历史的法国瓷器品牌，位于贝里地区，以其工艺和工业知识而自豪。2009年，它被认定为“活的遗产企业”。凭借其崇高的历史，该品牌在全球范围内继续推广卓越和法国的生活方式。 Pillivuyt公司以其创始人Jean Louis Richard Pillivuyt的名字命名，他来自瑞士银行家家族。在获得法国国籍后，他与一位地主Klein先生合作，在Foëcy镇创建了Pillivuyt工厂。从创立到第二次世界大战，Pillivuyt一直是家族企业。

Pillivuyt is a French porcelain brand with a rich 200-year history. Located in Berry, it takes pride in its artisanal and industrial know-how. In 2009, it was recognized as a "Living Heritage Company". Thanks to its prestigious past, the brand continues to promote excellence and the French way of life worldwide.

The company Pillivuyt takes its name from its founder, Jean Louis Richard Pillivuyt, who belonged to a family of Swiss bankers. After obtaining French nationality, he partnered with a landowner named Mr. Klein to create the Pillivuyt factory in the town of Foëcy (Cher). From its creation until the Second World War, Pillivuyt remained a family business.

Pillivuyt est une marque de porcelaine française qui possède une histoire riche de 200 ans. Elle est située dans le Berry et est fière de son savoir-faire artisanal et industriel. En 2009, elle a été reconnue comme une "Entreprise du Patrimoine Vivant". Grâce à son passé prestigieux, la marque continue de promouvoir l'excellence et le savoir-vivre à la française dans le monde entier.

L'entreprise Pillivuyt tire son nom de son fondateur, Jean Louis Richard Pillivuyt, qui appartenait à une famille de banquiers suisses. Après avoir obtenu la nationalité française, il s'est associé avec un propriétaire terrien nommé Mr. Klein pour créer la manufacture Pillivuyt dans la ville de Foëcy (Cher). Depuis sa création jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, Pillivuyt est restée une entreprise familiale.

Ch. Pillivuyt & Cie

查尔斯·斯坦尼斯拉斯·马蒂法是19世纪中叶巴黎最著名的艺术创始人之一。他受到金匠安托万·韦希特的训练，并接管了家族企业，该企业成立于1820年，位于巴黎珠宝街9号，在父亲去世后接手了家族企业。1849年，他在国家工业展览会上获得了银牌，1851年，他在伦敦世界博览会上展出了钟表、枝形吊灯和其他青铜制品。1853年都柏林展览的目录作家赞扬了他的品味，将他列为最好的巴黎青铜制造商之一。除了生产花瓶、吊灯、喷泉和其他小物件外，马蒂法还从事大型项目，例如文森纳斯的达姆尼尔将军雕像和查尔斯·加尼尔歌剧院的大楼梯灯柱。他还为巴黎天文台喷泉制作了两个青铜群像，并由弗雷米耶设计了一组马、海豚和海龟的动物群像。他最引人注目的巨型作品之一是阿布鲁佐的儿童，是由阿拉从罗马寄来的石膏模型铸造而成的铸铁作品。

 was one of the most famous art founders in Paris in the mid-19th century. He was trained by the goldsmith Antoine Vechte and took over the family business founded in 1820, located at 9 rue de la Perle in Paris, after his father's death. In 1849, he won a silver medal at the National Exhibition of Industry and in 1851, he exhibited at the Universal Exhibition in London where he presented clocks, chandeliers, and other bronze items. The catalog writer of the Dublin Exhibition in 1853 praised his taste, which placed him among the best Parisian bronze makers. In addition to producing vases, chandeliers, fountains, and other small objects, Matifat also worked on monumental projects such as the statue of General Daumesnil in Vincennes and the lamp posts of the grand staircase of Charles Garnier's Opera. He also made two bronze groups for the Observatory fountain in Paris, as well as an animal group of horses, dolphins, and turtles designed by Frémiet. One of his most remarkable monumental works is the Child of Abruzzo, made of cast iron from a plaster model sent from Rome by Allar.

était l'un des fondeurs d'art les plus célèbres de Paris au milieu du XIXe siècle. Il a été formé par l'orfèvre Antoine Vechte et a pris la direction de l'entreprise familiale fondée en 1820, située au 9 rue de la Perle à Paris, après la mort de son père. En 1849, il a remporté une médaille d'argent à l'Exposition Nationale de l'Industrie et en 1851, il a exposé à l'Exposition Universelle de Londres où il a présenté des pendules, des chandeliers et d'autres articles en bronze. Le rédacteur du catalogue de l'exposition de Dublin en 1853 a salué son goût qui le place parmi les meilleurs des bronziers parisiens. En plus de produire des vases, des lustres, des fontaines et d'autres objets de petite taille, Matifat a également travaillé sur des projets monumentaux tels que la statue du Général Daumesnil à Vincennes et les lampadaires du grand escalier de l'Opéra de Charles Garnier. Il a également fabriqué deux groupes de bronze pour la fontaine de l'Observatoire à Paris, ainsi qu'un groupe animalier de chevaux, dauphins et tortues conçu par Frémiet. L'une de ses œuvres monumentales les plus remarquables est l'Enfant des Abruzzes, réalisée en fonte d'après un modèle en plâtre envoyé de Rome par Allar.

Charles Stanislas Matifat 

圣路易水晶工厂的前身是创建于 1586 年的明兹塔尔（Müntzthal）玻璃工厂。1767 年，根据路易十五国王颁发的专利证书，圣路易水晶工厂更名为今天的圣路易水晶工厂。从 1829 年起，它只生产水晶。在整个 19 世纪直至今日，它一直是一家产品丰富、不断创新的工厂，与当时的艺术发展同步。

The Saint-Louis crystal works is descended from the Müntzthal glassworks, founded in 1586. It was in 1767, by letters patent from King Louis XV, that it took the name it still bears today. From 1829 onwards, it produced only crystal. Throughout the 19th century and right up to the present day, it has been a factory with a rich and innovative output, in tune with the artistic developments of its time.

La cristallerie Saint-Louis descend de la verrerie de Müntzthal, fondée en 1586. C’est en 1767, par lettres patentes du roi Louis XV qu’elle prit le nom qu’elle porte encore aujourd’hui. A partir de 1829, elle ne produisit plus que du cristal. Tout au long du XIXe siècle et jusqu’à nos jours, elle fut une manufacture à la production riche et novatrice, s’inscrivant dans les évolutions artistiques de son temps.

Cristallerie Saint-Louis

瓦尔-圣朗贝尔水晶玻璃厂

瓦尔-圣-朗贝尔水晶工厂由沃涅什水晶工厂的两名员工创建。他们在瓦尔-圣-朗贝尔（Val Saint-Lambert）的前西笃会修道院定居下来，新工厂的名字也由此而来。水晶工厂的声誉迅速提升：1841 年，在布鲁塞尔举行的比利时工业产品展览会上，该瓦尔-圣朗贝尔水晶玻璃厂

瓦尔-圣-朗贝尔水晶工厂由沃涅什水晶工厂的两名员工创建。他们在瓦尔-圣-朗贝尔（Val Saint-Lambert）的前西笃会修道院定居下来，新工厂的名字也由此而来。水晶工厂的声誉迅速工厂因其水晶的纯度和精致度而荣获金奖。公司在十九世纪末至二十世纪初达到了顶峰，特别是在 1894 年安特卫普世界博览会上取得了巨大成功。在整个二十世纪，该公司在风格上不断发展，在技术上不断创新，使其能够不断自我更新，直至今日。

The Val Saint-Lambert crystal glassworks

The Val Saint-Lambert crystal works was founded by two employees of the Vonêche crystal works. They settled in the former Cistercian abbey of Val Saint-Lambert, which gave its name to the new factory. The reputation of the crystal works grew rapidly: in 1841, at the exhibition of Belgian industrial products in Brussels, it was awarded a gold medal for the purity and refinement of its crystal. The company reached its apogee between the end of the nineteenth century, notably with its immense success at the Universal Exhibition in Antwerp in 1894, and the beginning of the twentieth century. Throughout the twentieth century, the company continued to evolve stylistically and innovate technically, enabling it to continue renewing itself right up to the present day.

La cristallerie du Val Saint Lambert fut fondée par deux employés de la cristallerie de Vonêche. Ils s’installèrent dans l’ancienne abbaye cistercienne du Val Saint-Lambert, qui donna son nom à la nouvelle manufacture. La renommée de la cristallerie enfla rapidement : dès 1841, à l’occasion de l’exposition des produits industriels belges de Bruxelles, elle fut décorée d’une médaille d’or pour la pureté et le raffinement de son cristal. Elle connut son apogée entre la fin du XIXe siècle, notamment avec l’immense succès qu’elle remporta lors de l’Exposition Universelle d’Anvers en 1894, et le début du XXe siècle. Par la suite, la manufacture sut évoluer stylistiquement et innover techniquement tout au long du XXe siècle, ce qui lui permit de se renouveler en permanence jusqu’à nos jours.

Cristallerie du Val Saint-Lambert

多尔瓦尔是20世纪初的珐琅师。

is an enameler from the beginning of the 20th century.

 est un émailleur du début du XXè siècle.

DORVAL, émailleur

爱德华·斯特尔马赫（Eduard STELLMACHER）是一名艺术家，他于1868年出生在德国，于1945年逝世。

Eduard STELLMACHER was an artist born in Germany in 1868 and died in 1945.

Eduard STELLMACHER est un artiste né en Allemagne en 1868 et mort en 1945.

Eduard Stellmacher

欧内斯特·沙普莱开始他的职业生涯是在塞夫勒的一个学徒。他从1857年到1874年在布尔格拉雷讷陶瓷工厂与弗朗索瓦·劳林一起工作，他们创造了彩绘陶瓷，并在1871年共同开发了巴博廷。沙普莱于1875年在奥特伊尔自己的工作室进行实验，由查尔斯·哈维兰指导。他于1882年接管了哈维兰的巴黎工作室，并在同年与画家埃米尔-奥伯特·莱索尔合作在巴黎世界博览会上展示了他的作品。他的作品以风格化的日本搪瓷为特色。沙普莱于1875年在布尔格拉雷创建了自己的工厂，然后在舒瓦兹莱瓦永久定居，在那里他完善了彩釉技术，并掌握了著名的“牛血”工艺。他还在1886年遇见了保罗·高更，并在陶瓷方面对他进行了培训。沙普莱于1887年出售了他的一个工作室，并于1889年左右生产了雷内·德·圣马尔索、朱尔·达卢和奥古斯特·罗丹雕塑的陶瓷翻译。他在1891年给罗杰·马尔克斯写信时声称掌握了白色和蓝色。不幸的是，他在1904年失明，不得不把他的工作室让给了女婿、陶艺家埃米尔·勒诺布尔。沙普莱于1909年6月16日自杀身亡。

began his career as an apprentice in Sèvres. He worked with François Laurin at the Bourg-la-Reine faience factory from 1857 to 1874, where they created painted terracottas and together developed barbotines in 1871. Chaplet then conducted experiments in his own workshop in Auteuil from 1875, under the direction of Charles Haviland. He took over the Paris workshops of Haviland in 1882 and presented his works at the Paris Universal Exhibition the same year, with the collaboration of painter Émile-Aubert Lessore. His production was characterized by stylized Japanese enamel stoneware. Chaplet created his own factory in Bourg-la-Reine in 1875, then settled permanently in Choisy-le-Roi, where he perfected colored glazes and mastered the famous "oxblood" process. He also met Paul Gauguin in 1886 and trained him in ceramics. Chaplet sold one of his workshops in 1887 and produced ceramic translations of sculptures by René de Saint-Marceaux, Jules Dalou, and Auguste Rodin around 1889. He claimed to master whites and blues in 1891 in a letter to Roger Marx. Unfortunately, he became blind in 1904 and had to give up his workshop to his son-in-law, ceramist Émile Lenoble. Chaplet committed suicide on June 16, 1909.

 a débuté sa carrière en tant qu'apprenti à Sèvres. Il a travaillé avec François Laurin à la faïencerie de Bourg-la-Reine de 1857 à 1874, où ils ont créé des terres cuites peintes et ont développé ensemble les barbotines en 1871. Chaplet a ensuite mené des expériences dans son propre atelier à Auteuil à partir de 1875, sous la direction de Charles Haviland. Il a pris la direction des ateliers parisiens de Haviland en 1882 et a présenté ses œuvres à l'Exposition universelle de Paris la même année, avec la collaboration du peintre Émile-Aubert Lessore. Sa production était caractérisée par des grès émaillés stylisés japonisants. Chaplet a créé sa propre manufacture à Bourg-la-Reine en 1875, puis s'est installé définitivement à Choisy-le-Roi, où il a perfectionné les émaux colorés et a maîtrisé le procédé du célèbre "sang de bœuf". Il a également rencontré Paul Gauguin en 1886 et l'a formé à la céramique. Chaplet a vendu l'un de ses ateliers en 1887 et a réalisé des traductions en céramique des sculptures de René de Saint-Marceaux, Jules Dalou et Auguste Rodin vers 1889. Il a affirmé maîtriser les blancs et les bleutés en 1891 dans une lettre à Roger Marx. Malheureusement, il est devenu aveugle en 1904 et a dû renoncer à son atelier au profit de son gendre, le céramiste Émile Lenoble. Chaplet s'est suicidé le 16 juin 1909.

Ernest Chaplet

加布里埃尔·维亚尔多 (Gabriel Viardot) 在拿破仑三世宫廷的供应商 Jeanselme 细木工坊开始了他的职业生涯，之后于 1849 年开始了自己的木雕生涯。1853 年，他在巴黎开设了一家家具工厂和商店，经营小型木制品。然后，他与他的兄弟 Alexandre Laurent 以“Viardot Frères et Cie”的名义合作。兄弟俩于 1856 年分居，Gabriel Viardot 创建了自己的工作室“G. Viardot”。

1870年代，这位细木匠在1867年的世界博览会上发现了远东艺术后，决定致力于“中日式家具”。对于他的家具，他有时使用直接从中国或日本进口的漆板和压花板。

加布里埃尔·维亚尔多 (Gabriel Viardot) 成功参加了众多标志着 19 世纪下半叶艺术界的展览。 1878年，他在世界博览会上获得银奖； 1885年安特卫普国际博览会以及1889年和1900年巴黎世界博览会上荣获金奖。 1885 年展览结束后，他被授予荣誉军团骑士勋章。

除其他杰出客户外，维亚多还拥有乔治·克莱蒙梭 (Georges Clemenceau) 和克莱门斯·丹纳里 (Clémence d’Ennery) 的执业经历。此外，他还与著名的 l’Escalier de Cristal 品牌合作。

Viardot 于 1890 年 6 月 17 日通过创建“G. Viardot et Cie”组织了他的继任者，他与儿子 Gabriel Léon Jules Viardot 以及他的女婿和 Georges Isidore Jean Dupont 联手成立了一家公司，两人均已受雇屋内。 1904年他去世后，他们接管了工厂的管理。但他的生意却没能延续下去。

Gabriel Viardot began his career in the Jeanselme cabinetmaking workshop, supplier to the court of Napoleon III, before setting out on his own as a wood sculptor in 1849. In 1853, he opened a furniture factory and store and small wooden objects in Paris. He then worked with his brother, Alexandre Laurent, under the name “Viardot Frères et Cie”. The brothers separated in 1856 and Gabriel Viardot created his own workshop, “G. Viardot”.

In the 1870s, after discovering Far Eastern arts at the Universal Exhibition of 1867, the cabinetmaker decided to devote himself to “Chinese-Japanese type furniture”. He sometimes used lacquered and embossed panels imported directly from China or Japan for his furniture.

Gabriel Viardot successfully participated in the numerous exhibitions which marked the artistic scene of the second half of the 19th century. At the Universal Exhibition of 1878, he won a silver medal; at the International Exhibition in Antwerp in 1885 and at the Universal Exhibitions in Paris in 1889 and 1900, a gold medal. He was made a Knight of the Legion of Honor following the 1885 exhibition.

Viardot had, among other illustrious clients, the practice of Georges Clemenceau and that of Clémence d’Ennery. Furthermore, he collaborated with the prestigious house l’Escalier de Cristal.

Viardot organized his succession on June 17, 1890 by creating "G. Viardot et Cie", a company in which he joined forces with his son, Gabriel Léon Jules Viardot and his son-in-law and Georges Isidore Jean Dupont, both already employed within the house . When he died in 1904, they took over the management of the workshops. But the business did not survive him.

Gabriel Viardot débuta sa carrière dans l’atelier d’ébénisterie Jeanselme, fournisseur de la cour de Napoléon III, avant de se mettre à son compte en tant que sculpteur sur bois en 1849. En 1853, il ouvrit une fabrique et un magasin de meubles et de petits objets en bois à Paris. Il travaillait alors avec son frère, Alexandre Laurent, sous le nom de « Viardot Frères et Cie ». Les frères se séparent en 1856 et Gabriel Viardot créé son propre atelier, « G. Viardot ».

Dans les années 1870, après avoir découvert les arts extrême-orientaux à l’Exposition Universelle de 1867, l’ébéniste décide de se consacrer au « mobilier genre chinois-japonais ». Il utilisait parfois, pour ses meubles, des panneaux laqués et en relief importés directement de la Chine ou du Japon.

Gabriel Viardot participa avec succès aux nombreuses expositions qui marquent la scène artistique de la seconde moitié du XIXe siècle. À l’Exposition Universelle de 1878, il remporta une médaille d’argent ; à l’Exposition internationale d’Anvers en 1885 et aux Expositions Universelle de Paris en 1889 et 1900, une médaille d’or. Il fut fait Chevalier de la Légion d’honneur à la suite de l’exposition de 1885.

Viardot eut, entre autres clients illustres, la pratique de Georges Clemenceau et celle de Clémence d’Ennery. Par ailleurs, il collabora avec la prestigieuse maison l’Escalier de Cristal.

Viardot organisa sa succession le 17 juin 1890 en créant « G. Viardot et Cie », société où il s’associe à son fils, Gabriel Léon Jules Viardot et son gendre et Georges Isidore Jean Dupont, tous deux déjà employés au sein de la maison. Lorsqu’il mourut en 1904, ces derniers prirent la direction des ateliers. Mais l’entreprise ne lui survécut pas.

Gabriel Viardot

成立于1823年的维也纳，是一家国际知名的奥地利水晶公司，很快成为皇室供应商。在约瑟夫·洛布迈尔和他的儿子路德维希·洛布迈尔的领导下，该公司成为奥地利和波希米亚水晶生产的先驱。它早在1851年就参加了世界博览会，并于1864年与维也纳应用艺术博物馆共同创立了奥地利工艺协会。路德维希和他的侄子斯特凡·拉特加入了现代主义运动，并于1912年创立了奥地利工作联盟，而水晶公司则委托维也纳工作室制作水晶吊灯。J. & L. Lobmeyr为著名的城堡如林德霍夫、海伦希姆湖和美丽宫提供水晶吊灯，以及比利时国王和佛兰德斯宫廷等著名客户。与托马斯·爱迪生的公司合作，Lobmeyr还在1883年共同开发了世界上第一个电气吊灯，并于1906年在卡罗维发利开设了代表处。路德维希于1917年去世后，公司传给了他的侄子斯特凡·拉特，后者获得了与维也纳国家歌剧院、大都会歌剧院、约翰·肯尼迪表演艺术中心和克里姆林宫等机构的合同。今天，J. & L. Lobmeyr仍然是一家活跃的公司，与新设计师合作。

founded in 1823 in Vienna, is an internationally renowned Austrian crystal company that quickly became a supplier to the imperial court. Under the leadership of Josef Lobmeyr and then his son Ludwig Lobmeyr, the company became a pioneer in the production of Austrian and Bohemian crystal. It also participated in world exhibitions as early as 1851 and co-founded the Austrian Museum of Applied Arts in Vienna in 1864. Ludwig and his nephew Stefan Rath joined the modernist movement and founded the Österreichischer Werkbund in 1912, while the crystal company commissioned the Wiener Werkstätte. J. & L. Lobmeyr provided crystal chandeliers for famous castles such as Linderhof, Herrenchiemsee, and Schönbrunn, as well as prestigious clients such as the King of Belgium and the Court of Flanders. In partnership with Thomas Edison's company, Lobmeyr also co-developed the world's first electric chandeliers in 1883 and opened a representative office in Karlovy Vary in 1906. After Ludwig's death in 1917, the company was passed on to his nephew Stefan Rath, who obtained contracts with institutions such as the Vienna National Opera, the Metropolitan Opera, the John F. Kennedy Center for the Performing Arts, and the Kremlin. Today, J. & L. Lobmeyr is still an active company that collaborates with new designers.

 Fondée en 1823 à Vienne, J. & L. Lobmeyr est une cristallerie autrichienne de renommée internationale qui est rapidement devenue fournisseur de la cour impériale. Sous la direction de Josef Lobmeyr puis de son fils Ludwig Lobmeyr, la société est devenue un pionnier de la production de cristal autrichien et de Bohême. Elle a également participé à des expositions universelles dès 1851 et a cofondé le Musée autrichien des arts appliqués de Vienne en 1864. Ludwig et son neveu Stefan Rath ont rejoint le Mouvement moderne et fondé l'Österreichischer Werkbund en 1912, tandis que la cristallerie a passé commande au Wiener Werkstätte. J. & L. Lobmeyr a fourni des lustres en cristal pour des châteaux célèbres tels que Linderhof, Herrenchiemsee et Schönbrunn, ainsi que pour des clients prestigieux tels que le roi des Belges et la Cour des Flandres. En partenariat avec l'entreprise de Thomas Edison, Lobmeyr a également codéveloppé les premiers lustres électriques du monde en 1883 et ouvert un bureau de représentation à Karlovy Vary en 1906. Après la mort de Ludwig en 1917, la société a été transmise à son neveu Stefan Rath, qui a obtenu des contrats avec des institutions telles que l'Opéra national de Vienne, le Metropolitan Opera, le Centre John F. Kennedy pour les arts de la scène et le Kremlin. Aujourd'hui encore, J. & L. Lobmeyr est une entreprise active qui collabore avec de nouveaux designers.

J & L Lobmeyr

简·勒梅尔勒（Jeanne LEMERLE），原名让娜·索耶（Jeanne SOYER），是著名珐琅匠泰奥菲尔·索耶（Théophile SOYER）的女儿，她是19世纪末最著名的珐琅匠之一。

Jeanne LEMERLE, née Jeanne SOYER, was the daughter of the enameller Théophile SOYER, one of the most famous enamellers of the late 19th century.

, de son nom de jeune fille Jeanne SOYER, était la fille de l'émailleur Théophile SOYER, l'un des plus célèbres émailleur de la fin du 19ème siècle.

Jeanne Lemerle-Soyer

 est un peintre et sculpteur suisse né à Berne le 26 octobre 1796 et mort dans la même ville le 6 octobre 1865.

Il fut l'élève de Horace Vernet et de Géricault à Paris.

Joseph Simon Volmar

布拉托（Jules Paul Brateau）(1844-1923)

儒勒·布拉托（Jules Brateau）出生于布尔日，他在巴黎的装饰艺术学院（l’Ecole des arts décoratifs de Paris）接受过培训，是法国装饰艺术的一个标志性人物。作为一名著名的雕塑家、金匠、珠宝商和锡器陶工，布拉托（Brateau）为法国锡器艺术的复兴做出了重大贡献。布拉托（Brateau）是文艺复兴时期的该领域的行家，作为世博会的获奖者，他被公认为是一位特别细致且具有创造力的艺术家。

Originaire de Bourges, formé à l’Ecole des arts décoratifs de Paris, Jules Brateau est une figure emblématique de l'art décoratif français. Sculpteur, orfèvre, joaillier et potier d'étain de renom, Brateau contribua grandement au renouveau de l'art de l'étain en France. Médaillé aux expositions universelles, Brateau était un grand connaisseur de la Renaissance, reconnu comme un artiste particulièrement méticuleux et innovant.

Jules Brateau

重要的第二帝国家具制造商和瓷器画家朱利安-尼古拉斯·里瓦特于1802年7月1日出生，或者更确切地说，在拿破仑一世的巴黎的10年第12个月的12日。他的生活起源没有留下任何痕迹，因此人们认为他在一个不起眼的环境中接受了多年的培训。当时，巴黎经济上受到革命和拿破仑战争的冲击。对于家具制造商来说，这是一段重要的限制时期，禁运令强制使用当地的木材，典型的复古风格。

我们得到的第一批信息似乎证实了这些谦逊的开端，因为我们只在1835年在流行区的一个车间中找到里瓦特，位于圣马丁堡街76号。他两次搬家，分别是1837年到桑松街6号，1840年到梅里库尔特疯狂街16号，也许反映了建立客户群的困难。用他自己的话说，这些年是“各种牺牲”，“二十年的坚持”。

1848年，他开发了一种新的镶嵌技术，突然走上了舞台。他的生活一页翻过去了，同时路易·拿破仑·波拿巴掌握了权力。随后宣布成立的第二帝国将看到国家大力现代化和艺术产业蓬勃发展。禁运解除，异国情调的木材重新浮出水面，使奢侈品制造商大为兴奋。

1849年9月18日，里瓦特注册了为期15年的专利，“一种可以在漆木、未漆木、铜、大理石和任何其他石头以及天鹅绒等上进行的镶嵌类型”。在这个总标题下，他旨在使用一种从未用于镶嵌的材料：瓷器。在附带专利说明书中，他说：“迄今为止在这种工业中所做的所有研究都没有成功......我首先发现了这一点。”他激烈地捍卫了他发明的专利，并对所有后续改进进行了专利申请。

凭借他有远见的这一过程，他被推到了装饰艺术的前台。使用他的技术，可以添加瓷器而不占用更多必要的空间，以不掩盖木材的美丽。他捍卫了这项发明的所有权，为此与重要艺术家合作并获得了声望很高的订单。其中最重要的是塔恩（Tahan），皇帝的家具制造商，但他还与阿方斯·吉鲁（Alphonse Giroux）合作。他的工作室现在位于巴黎老城区的诺曼底街1号。

世界博览会对里瓦特非常有利。他及时想出了在1851年由阿尔伯特亲王在伦敦发起的这些国际会议中参加的想法。对于这个历史事件，他得到了雕塑家维克多·帕亚尔德（Victor Paillard）的合作，后者负责监督维多利亚女王雕像。因此，两位艺术家呈现出由乌木和红木制成的壮观柜子，展示了瓷器绘画、阴影和清晰度。这件家具被卡蒙德公爵购买，并获得了16枚奖牌，其中包括奖章。

因此，在1851年世界博览会上引起注意后，他在1855年巴黎举行的第二届博览会上受到赞扬，以回应英国的创新。里瓦特与重要的塔恩制造厂以及比他年轻近二十岁的塞夫尔制造厂画家皮埃尔-约瑟夫·吉鲁（Pierre-Joseph Guérou）合作。评论家们赞扬他：

“里瓦特在家具镶嵌方面带来了非常巧妙的创新：它包括应用剪切彩绘瓷器，在某些情况下替代木材通常的马赛克，允许将装饰家具交给杰出的艺术家。”特别是强调了他有着非常美丽艺术效果的三面柜子。

在这个重要展览中，他展示了红木家具和一张黑色大理石桌子，赢得了一枚一等奖牌。皇室夫妇注意到了他的展台，并向他致以赞扬，而尤金妮皇后则购买了一个珠宝盒，现在在康皮涅博物馆。

1855年世界博览会后，里瓦特经常受到重要委托。因此，在两年后的1857年，塔恩在图伊勒里花园交付了一张装饰有瓷器镶嵌的桌子。1861年，里瓦特为查尔斯·安德烈·德·曼纳维尔伯爵（Count Charles André de Manneville）创建了一张桌子，现在位于塞夫尔陶瓷城（Cité de la Céramique of Sèvres），

An important cabinetmaker and painter on 

 of the Second Empire, Julien-Nicolas Rivart, was born on July 1, 1802, or rather on 12 Messidor of the year 10, in the Paris of Napoleon I. The beginnings of his life have left no trace, so one assumes years of training in a modest environment. 

 was then shaken economically by the Revolution and the Napoleonic wars. For cabinetmakers, it was a time of important restrictions imposed by the embargo, which favored the use of local woods, typical of the Restoration style.


The first information that reached us seem to confirm these 

, for we find Rivart only in 1835, in a workshop of the popular quarters, located at number 76 rue du 

. He moved his workshop twice, in 1837 to 6 rue Sanson and in 1840 to 16 rue de la Folie Méricourt, perhaps reflecting difficulties in establishing his clientele. In his own words, these years were those of "

 and suddenly stepped into the limelight. A page of his life turned, at the same time that Louis-Napoleon Bonaparte took the reins of power. The 

, proclaimed shortly afterwards, will see the country modernize considerably and the art industries thrive. The embargo lifted, the exotic woods resurface for the delight of 

a type of inlay that can be done in wood lacquered or not, copper, marble, and any other stone, as well as on velvet, etc.

" Under this general heading, he aims at a material that had never been used in marquetry: 

All the research that has been done to date in this kind of industry has been unsuccessful and ...

," he says in the memorandum accompanying his patent. He fiercely defended the paternity of his invention, patenting all subsequent improvements.


Thanks to this process of which he had the intuition, he is propelled to the front of the stage of decorative arts. With his technique, 

porcelain can be added without taking up more space than necessary

, not to hide the beauty of the wood. This invention, of which he defended the property, opens the doors of collaborations with important artists, and thus gain access to 

 , cabinetmaker of the Emperor, but he also collaborates with 

 . His studio is now 1 rue de Normandie, in a dynamic district of old Paris.

The 

 will be extremely profitable to Rivart. He had his idea just in time to participate in these international meetings initiated by Prince Albert in 

. For this historic event, he enjoys the collaboration of 

, a sculptor precisely responsible for supervising the statue of the Queen Victoria. The two artists thus presented an imposing cabinet made of ebony and mahogany, which put to their advantage porcelain painting, its shadows and its clarity. The furniture is bought by 

 and receives sixteen medals, including the 


Noticed, therefore, at the World’s Fair of 1851 , he is lauded at the second, which took place in 

, in response to the English innovation. Rivart associated with the great Tahan Manufactory, and with the painter from Sèvres Manufactory 

, nearly twenty years his junior. Critics promote him :


innovation was brought by Rivart in furniture inlay: it consists in the application of cut-out painted porcelain which thus forms pictures of flowers and which in certain cases replace the usual mosaic of wood, allowing to

 ". In particular, his cabinet with three panels "

He displayed in this important exhibition rosewood furniture and a table in black marble, which earned him a 

. His stand was noticed by the Imperial couple, from whom he received compliments, and the 

 then acquired a Jewel Case, now in the Museum of Compiègne.


After the World’s Fair of 1855 , Rivart was regularly solicited for important commissions. Thus, two years later, in 1857, Tahan delivers a table ornamented with porcelain inlays at the 

, today at the Cité de la Céramique of Sèvres, and the following year he contributed to the development of the 

 50% of its production. One must see here the effect of the World’s Fairs , which gave him an international showcase. In particular, he supplied his marquetry to Frédéric Roux, a Parisian cabinetmaker who knew the American market well for having worked in 


Julien-Nicolas Rivart died on February 17, 1867 without being able to finish the marble panels encrusted with porcelain which he was preparing for the Universal Exhibition in Paris the same year. Frédéric Roux presents them on his behalf, but the absence of the inventor is noticed. 

, a writer of his generation, witnessed this disappearance and predicted: "

Indeed, the delicacy of Rivart's work for the inlay of porcelain never found an equal to take over. The furniture inlaid with porcelain marquetry remain 

 pieces, witnesses of the inventiveness of the second half of the nineteenth century. In 1900, the Universal Exhibition, which traced the "record of the century", does not forget the favor that Rivart porcelain had gained during the Second Empire, exposing one of his tables in the Salon Napoleon III.

 where others had failed to realize an innovative marquetry, left the traces of his obstinacy, his determination. Sure of his skill and talent, he pulled himself out of the crowd and made the world 

 important du Second Empire, Julien-Nicolas Rivart est né le 1er juillet 1802, ou plutôt le 12 Messidor de l’an X, dans le Paris de Napoléon Ier. Les débuts de sa vie n’ont pas laissé de trace, si bien que l’on suppose des années de formation dans un milieu modeste. 

 est alors ébranlé économiquement par la Révolution et les guerres napoléoniennes. Pour les ébénistes, c’est un temps de restrictions importantes imposées par l’embargo, qui favorise l’emploi d’essences locales typiques du style Restauration.


Les premières informations qui nous reviennent semblent confirmer ces 

, car on ne retrouve Rivart qu’en 1835, dans un atelier des quartiers populaires, sis au numéro 76 de la rue du 

. Il déménage son atelier deux fois, en 1837 au 6 rue Sanson et en 1840 au 16 rue de la Folie Méricourt, traduisant peut-être des difficultés à établir sa clientèle. De ses propres mots, ces années furent celles de « 

 le sortant brusquement de l’anonymat. Une page de sa vie se tourne, au même moment que Louis-Napoléon Bonaparte prend les rennes du pouvoir. Le 

, proclamé peu après, verra le pays se moderniser considérablement et les industries d’art prospérer. L’embargo levé, les bois exotiques refont surface pour le bonheur des manufactures de 

"un mode d’incrustation qui peut se faire dans le bois laqué ou non, le cuivre, le marbre, et toute autre pierre, ainsi que sur le velours, le cartonnage, etc"

. Sous ce titre général, il vise un matériau qui n’avait alors jamais été utilisé en marqueterie : la 

 Toutes les recherches qui ont été faites jusqu’à ce jour dans ce genre d’industries sont restées infructueuses et […]

 », clame-t-il dans le mémoire accompagnant son brevet. Il défendra férocement la paternité de son invention, en brevetant également toutes les améliorations ultérieures.

Grâce à ce procédé dont il a eu l’intuition, le voilà propulsé au devant de la scène des arts décoratifs. Avec sa technique, 

la porcelaine peut être ajoutée sans prendre plus de place que nécessaire

, ne pas cacher ainsi à la vue la beauté du bois. Cette invention, dont il a défendu la propriété, lui ouvre les portes de collaborations avec des artistes importants, et d’accéder ainsi à des commandes de 

 , ébéniste de l’Empereur, mais il collabore aussi avec 

 . Son atelier est désormais 1, rue de Normandie, dans un quartier dynamique du vieux Paris.

Les 

 vont être extrêmement profitables à Rivart. Il a eu son idée juste à temps pour participer à ces rendez-vous internationaux initiés par le Prince Albert à 

. Pour cet événement historique, il bénéficie de la collaboration de 

, sculpteur précisément chargé de superviser la statue de la Reine Victoria. Les deux artistes présentent ainsi un imposant cabinet en bois d’ébène et d’acajou, qui mettent à leur avantage la peinture sur porcelaine, ses jeux d’ombres et sa clarté. Le meuble est acheté par le 

Remarqué, donc, à la première Exposition Universelle, il est encensé à la deuxième, qui eut lieu en 

, en réponse à l’innovation anglaise. Rivart s’associe à la grande maison Tahan, et au peintre de la manufacture de Sèvres 

, de près de vingt ans son cadet. La critique fait ainsi sa promotion :


a été apportée par Rivart dans l’incrustation de meubles : elle consiste dans l’application de porcelaines peintes découpées qui forment ainsi des tableaux de fleurs et qui remplacent avec avantage, dans certains cas, la mosaïque ordinaire de bois, permettant de

 ». On souligne notamment son cabinet à trois panneaux « 

Il expose en effet à cette importante exposition des meubles en bois de rose et de palissandre et une table en marbre noir, qui lui valent une 

. Son stand est remarqué par le couple impérial, dont il reçoit des compliments, et l’

 acquiert alors un serre-bijoux, aujourd’hui conservé au musée de Compiègne.


Après l’Exposition Universelle de 1855, Rivart est régulièrement sollicité pour d’importantes commandes. Ainsi, deux ans plus tard, en 1857, Tahan livre une table ornée d’incrustations de porcelaines au 

. En 1861, Rivart réalise une table pour le 

, aujourd’hui à la Cité de la Céramique de Sèvres, et l’année suivante il contribue à l’aménagement de la 

 50 % de sa production. Il faut y voir l’effet des Exposition Universelles, qui lui ont donné une vitrine internationale. Il fournit notamment sa marqueterie à Frédéric Roux, un ébéniste parisien qui connaît bien le marché américain pour avoir travaillé à 

.

Julien-Nicolas Rivart décède le 17 février 1867 sans pouvoir pu terminer les panneaux de marbre incrustés de porcelaine qu’il préparait pour l’Exposition Universelle à Paris la même année. Frédéric Roux les présente pour son compte, mais l’absence de l’inventeur est remarquée. 

, écrivain de sa génération, assiste à cette disparition et prédit : «

Effectivement, la délicatesse du travail de Rivart pour l’incrustation de porcelaine n’a pas trouvé d’égaux à même de prendre la suite. Les meubles incrustés de marqueterie de porcelaine restent ainsi des pièces 

, témoins de l’inventivité de la seconde moitié du XIXe siècle. En 1900, l’Exposition Universelle, qui retrace le « bilan du siècle », n’oublie pas la faveur qu’avait gagné la porcelaine Rivart sous le Second Empire, en exposant une de ses tables dans le Salon Napoléon III.

Julien-Nicolas Rivart, 

 là où d’autres avaient échoué à réaliser une marqueterie innovante, a laissé les traces de son opiniâtreté, de sa détermination. Sûr de son habilité et de son talent, il s’est extrait de la foule et a fait 

Julien-Nicolas Rivart

巴尔比迪安宅邸是19世纪著名的铸造厂，因其雕塑和艺术品的出版而迅速获得声誉。作为一家青铜工作室，该公司与其他手工艺企业合作，并将其名称与各种作品联系在一起，尤其是家具。作为其时的所有世界博览会的参展商，Barbedienne公司经常因其成就而受到表彰，特别是在1855年的世界博览会上，它获得了大荣誉奖章。

巴黎青铜匠和出版商Ferdinand Barbedienne（1810-1892）于1839年与Achille Collas合作创立了一家公司，后者发明了一种用于数学减法雕塑的方法。借助这种革命性的方法，他们开创了前所未有的生产方式。在“Collas et Barbedienne”的名义下，他们专门从事古代艺术品的复制，并开发了新的化学方法来给青铜上色和涂层。作为浪漫主义一代的代表，Ferdinand Barbedienne的任务是普及艺术，通过制作许多古代复制品并促进其同时代人作品的传播。因此，许多著名雕塑都由Barbedienne铸造厂出版。在他的一生中，Barbedienne与他时代最伟大的艺术家，雕塑家或装饰艺术家如Édouard Lièvre，Ferdinand Levillain，Attarge，Aizelin，Barye或Fremiet合作。

The Barbedienne House is a famous 19th century foundry that quickly gained great renown for its editions of statues and art objects. Although primarily a bronze workshop, the company also worked with other crafts and associated its name with works of great diversity, particularly in furniture. Present at all the Universal Exhibitions of its time, the Barbedienne House was regularly distinguished with awards, notably at the 1855 Universal Exhibition where it received the Grand Medal of Honor.

Parisian bronze caster and publisher Ferdinand Barbedienne (1810-1892) founded a company in collaboration with Achille Collas, inventor of the process for mathematically reducing sculpture. Thanks to this revolutionary process, they opened the doors to unprecedented production. Under the name "Collas and Barbedienne", they specialized in reproductions based on antiquity and developed new chemical processes for coloring and patinating bronzes. As a representative of the romantic generation, Ferdinand Barbedienne made it his mission to democratize art by producing numerous copies of antiquities and stimulating the diffusion of works by his contemporaries. Many famous sculptures were thus edited by the Barbedienne foundry. Throughout his life, Barbedienne collaborated with the greatest artists, sculptors or ornamentalists of his time such as Édouard Lièvre, Ferdinand Levillain, Attarge, Aizelin, Barye or Fremiet.

 est une célèbre fonderie du XIXe siècle, qui atteint rapidement une grande renommée pour ses éditions de 

, l’entreprise travaille cependant avec d’autres corps d’artisanat, et associe son nom à des œuvres d’une grande diversité, notamment dans l’

. Présente à toutes les Expositions Universelles de son temps, la Maison Barbedienne fut régulièrement distinguée par des récompenses, notamment lors de l’ Exposition Universelle de 1855 où elle reçut la Grande Médaille d'Honneur.

 (1810-1892) fonde en 1839 une société en collaboration avec 

, inventeur du procédé pour la réduction mathématique de la sculpture. Grâce à ce procédé révolutionnaire, ils ouvrent les portes à une 

 », ils se spécialisèrent dans les reproductions d’après l’antique et mirent au point de nouveaux procédés chimiques pour colorer et patiner les bronzes. En bon représentant de la génération romantique, Ferdinand Barbedienne se donne pour mission de démocratiser l’art, en réalisant de nombreuses 

 et en stimulant la diffusion des œuvres de ses 

. De très nombreuses sculptures célèbres sont ainsi éditées par la fonderie Barbedienne. Tout au long de sa vie, Barbedienne collabora avec les plus grands artistes, sculpteurs ou ornemanistes de son temps comme 

, Ferdinand Levillain, Attarge, Aizelin, 

La Maison Barbedienne

1740年，维桑尼制瓷厂在路易十五和蓬帕杜夫人的支持下成立，旨在与尚蒂利和迈森的产品竞争。1756年，它被搬到塞夫勒，在工程师让-罗多尔夫·佩罗内和建筑师林德特的监督下建造了一座建筑，位于一个名为“德拉吉亚德”的农场的位置。这座建筑长130米，高四层，由一个中央楼阁和两个翼楼组成，以角楼结束。公共庭院由铁艺栅栏关闭，位于中央楼阁前面，而制造厂对面的半月形区域用于停放游客的马车。土地储备、原材料仓库和窑炉位于底层，而各种车间位于上层。1756年，路易十五购买了塞夫勒的所有股份，使他成为唯一的股东，并于1759年10月将制造厂并入皇家领地。

In 1740, the Vincennes factory was created with the support of Louis XV and Madame de Pompadour in order to compete with the productions of Chantilly and Meissen. In 1756, it was moved to Sèvres in a building constructed under the supervision of engineer Jean-Rodolphe Perronet and architect Lindet at the location of the farm called "de la Guyarde". The building, 130 meters long and four stories high, consists of a central pavilion and two wings terminated by corner pavilions. The public courtyard, closed by a wrought iron gate, is located in front of the central pavilion, while a half-moon in front of the factory allowed for the parking of visitors' carriages. The land reserves, raw material deposits, and furnaces were located on the ground floor, while the various workshops were located on the upper floors. In 1756, Louis XV bought all the shares of Sèvres, making him the sole shareholder, and the factory was attached to the Crown domain in October 1759.

En 1740, la manufacture de Vincennes a été créée avec le soutien de Louis XV et de Madame de Pompadour dans le but de rivaliser avec les productions de Chantilly et de Meissen. En 1756, elle a été déplacée à Sèvres dans un bâtiment construit sous la supervision de l'ingénieur Jean-Rodolphe Perronet et de l'architecte Lindet à l'emplacement de la ferme appelée "de la Guyarde". Le bâtiment, long de 130 mètres et haut de quatre étages, est constitué d'un pavillon central et de deux ailes terminées par des pavillons d'angle. La cour du public, fermée par une grille en fer forgé, se trouve devant le pavillon central, tandis qu'une demi-lune en face de la manufacture permettait le stationnement des carrosses des visiteurs. Les réserves de terres, les dépôts de matières premières et les fours étaient situés au rez-de-chaussée, tandis que les différents ateliers se trouvaient aux étages supérieurs. En 1756, Louis XV a acheté toutes les actions de Sèvres, faisant ainsi de lui l'unique actionnaire, et la manufacture a été rattachée au domaine de la Couronne en octobre 1759.

La Manufacture de Sèvres 

道姆玻璃厂由让-道姆（1825-1885 年）于 1878 年在南锡创建，1885 年由他的儿子奥古斯特（1853-1909 年）和安东宁（1864-1930 年）接管。最初，他们制作的作品相对简单，后来逐渐使用多样化的技术。例如，他们使用酸和砂轮进行雕刻，并使用多层玻璃进行加工。他们的玻璃制品参加了许多展览，并获得了许多著名奖项。

The Daum glassworks was founded in Nancy in 1878 by Jean Daum (1825-1885), and taken over in 1885 by his sons Auguste (1853-1909) and Antonin (1864-1930). After initially producing relatively simple pieces, they gradually diversified the techniques they used. For example, they etched with acid as well as with a wheel, and worked with multi-layered glass. The glassworks took part in a number of exhibitions, winning prestigious awards.

La verrerie Daum fut fondée à Nancy en 1878 par Jean Daum (1825-1885), et reprise en 1885 par ses fils Auguste (1853-1909) et Antonin (1864-1930). Après avoir, dans un premier temps, exécuté des pièces d’une relative simplicité, ils diversifièrent peu à peu les techniques employées. Ainsi, ils gravaient aussi bien à l’acide qu’à la roue, et travaillaient des verres à plusieurs couches. La cristallerie participa à de nombreuses expositions, à l’occasion desquelles elle reçut de prestigieuses distinctions.

La verrerie Daum

马西埃家族由杰罗姆、克莱门特、德尔芬和塞德里克组成，是一个陶瓷家族，他们在瓦洛里斯的陶瓷复兴中发挥了重要作用。克莱芒特·马西埃被认为是20世纪初瓦洛里斯现代陶瓷工业的创始人。

他曾在父亲雅克的工厂当工人，并由意大利陶瓷大师盖塔诺·甘多尔菲（Gaetano Gandolfi）传授陶艺技巧，包括釉面陶瓷等多种技术，这些技术为马西埃家族赢得了声誉。生产很快因其独特性而脱颖而出，转向艺术创作而非实用陶器。

由克莱芒特，德尔芬兄弟及其表兄杰罗姆领导的三家企业很快被认为是瓦洛里斯主要的生产力之一。

The Massier family, composed of Jérôme, Clément, Delphin, and Cédric, is a dynasty of ceramicists who played an important role in the revival of Vallauris ceramics. Clément Massier is considered the founder of modern ceramic industry in Vallauris at the beginning of the 20th century.

He started as a worker in his father Jacques' workshop and was initiated into pottery by an Italian master ceramist named Gaetano Gandolfi. Gandolfi introduced several techniques, including glazed faience, which contributed to the reputation of the Massier workshop. The production quickly distinguished itself by its originality and turned towards artistic creation rather than utilitarian pottery.

The three companies led by brothers Clément and Delphin and their cousin Jérôme were quickly recognized as one of the major productions of Vallauris.

, composée de Jérôme, Clément, Delphin et Cédric, est une dynastie de céramistes qui a joué un rôle important dans la renaissance de la céramique de Vallauris. Clément Massier est considéré comme le fondateur de l'industrie céramique moderne de Vallauris au début du XXe siècle. 

Il a débuté comme ouvrier chez son père Jacques et a été initié à la poterie par un maître-céramiste italien nommé Gaetano Gandolfi. Gandolfi a introduit plusieurs techniques, dont la faïence émaillée, qui ont contribué à la renommée de la maison Massier. La production s'est rapidement distinguée par son originalité et s'est tournée vers une création artistique plutôt que vers une poterie utilitaire. 

Marc Maison

- 19ème -

Artistes

Albert-Léon Lebarque

André Fernand Thesmar

Charles Stanislas Matifat

DORVAL, émailleur

Gabriel Viardot

Joseph Simon Volmar

La Maison Barbedienne

Les Massier

L’Escalier de Cristal

Pierre-Adrien Dalpayrat

Victor Horta

Édouard Lièvre

Alphonse CHAIGNON

Baccarat

Cristallerie Saint-Louis

Eduard Stellmacher

J & L Lobmeyr

Jules Brateau

La Manufacture de Sèvres

Louis Auguste Lepère

Maison Fourdinois

Theodore Deck

Vieillard & Cie

Émile Gallé

Alphonse Giroux

Ch. Pillivuyt & Cie

Cristallerie du Val Saint-Lambert

Ernest Chaplet

Jeanne Lemerle-Soyer

Julien-Nicolas Rivart

La verrerie Daum

Louis Carrier-Belleuse

Paul-Constant Soyer

Théophile Soyer

la Manufacture de Zsolnay

Albert-Léon Lebarque

Alphonse CHAIGNON

Alphonse Giroux

André Fernand Thesmar

Baccarat

Ch. Pillivuyt & Cie

Charles Stanislas Matifat

Cristallerie Saint-Louis

Cristallerie du Val Saint-Lambert

DORVAL, émailleur

Eduard Stellmacher

Ernest Chaplet

Gabriel Viardot

J & L Lobmeyr

Jeanne Lemerle-Soyer

Joseph Simon Volmar

Jules Brateau

Julien-Nicolas Rivart

La Maison Barbedienne

La Manufacture de Sèvres

La verrerie Daum

Les Massier

Louis Auguste Lepère

Louis Carrier-Belleuse

L’Escalier de Cristal

Maison Fourdinois

Paul-Constant Soyer

Pierre-Adrien Dalpayrat

Theodore Deck

Théophile Soyer

Victor Horta

Vieillard & Cie

la Manufacture de Zsolnay

Édouard Lièvre

Émile Gallé

Marc Maison

- 19ème -